Google offre un million de shekels après l’incendie en Israël

1 million de shekels, c’est la somme que Google Israël s’est engagé à offrir aux autorités israéliennes pour aider au reboisement du Mont Carmel dévasté par un gigantesque incendie. Le geste a, bien sûr, été salué par la presse et les responsables politiques israéliens d’autant que Google prend une place grandissante dans la société israélienne. En effet, le célèbre moteur de recherche vient de lancer Googgle books Israël, un service en ligne qui permet d’accéder aux livres en Hébreu scannés et indexés. Le géant américain a également passé un accord avec Le département israélien des Antiquités pour mettre en ligne les rouleaux de la mer Morte. Ce projet, d’un coût de 3,5 millions de dollars (2,5 millions d’euros), vise à rendre ces documents disponibles gratuitement au public.

Source : http://streetgeneration.fr/news/breves/23586/google-offre-un-million-de-shekels-apres-lincendie-en-israel-mont-carmel/

L’Objectif du Premier ministre Netanyahu : Israël parmi les 15 pays du monde ayant les revenus par habitant les plus élevés d’ici à 2025.

Le Premier ministre Binyamin Netanyahu s’est adressé lundi à la « Globes Business Conference » et a déclaré qu’il voulait qu’Israël fasse partie des 15 pays du monde ayant  les revenus, par habitant, les plus élevés d’ici à 2025.

Photo : GPO

« L’économie d’Israël au cours de la dernière décennie a connu une croissance rapide, » a t-il dit. « Notre objectif de faire partie des 15 pays aux plus forts revenus, par habitant, est réalisable.

Cela ne sera pas facile pour autant mais  ne sera possible que si nous bénéficions d’une croissance du PIB d’un peu plus de 1.5 % par an

« La croissance, » a déclaré M. Netanyahu, « est nécessaire pour nos besoins nationaux et sociaux dans un moment de crise et Il n’y a pas d’autres moyens de trouver leur financement  sans la croissance.

C’est pourquoi la question que nous devrions nous poser est la suivante: Quelles sont les lois économiques fondamentales  qui nous ont permis d’être dans une telle situation  aujourd’hui, passant d’une économie en développement à un pays développé? Une autre question que nous devons nous poser est de savoir comment nous pouvons continuer sur cette voie, parce que la concurrence – tout comme dans les affaires – ne s’arrête jamais.

Une économie nationale qui fait partie d’une économie mondiale doit toujours être en concurrence, et je prétends  qu’il faut continuer à concourir, et de plus en plus. Pour  améliorer et atteindre cet objectif, nous devons suivre les cinq règles de base. Si nous suivons ces règles, elles  nous protégeront …Lire la suite ( en Anglais )

Le CESE renforce le dialogue avec la société civile organisée au Moyen-Orient

CESE – 03 décembre 2010

Le Comité économique et social européen (CESE) a appelé à une plus grande participation des organisations de la société civile dans le processus de paix au Proche-Orient, insistant, dans son message, sur la nécessité d’une participation et d’un dialogue renforcés dans la région, sur les plans politique, économique et social.  

Une délégation du CESE conduite par son Président, Staffan Nilsson, a récemment effectué une visite en Israël : « Il existe une société civile organisée en Israël et dans les Territoires palestiniens. De part et d’autre, les représentants peuvent coopérer et arriver à un consensus sur les problèmes concrets. Leur rôle devient vital dans le processus de paix, et l’Europe doit les soutenir » a déclaré M. Nilsson.

Dans le cadre de cette mission du CESE, une réunion conjointe a également eu lieu entre les organisations de la société civile israélienne et palestinienne. Les délégués du CESE ont encouragé les conseils économiques et sociaux palestiniens et israéliens à s’engager dans des initiatives communes, par exemple dans le domaine de l’environnement.  

En savoir plus : ENPI Info Centre – région Euromed

Le Fonds Monétaire International missionné en Israël pour son rapport annuel

La mission en vue d’établir le rapport annuel du Fonds monétaire international (F.M.I.) commence sa série d’entretiens en Israël par une réunion avec la direction de la Banque d’Israël. La mission se compose de quatre économistes et de Peter Doyle, chef de division au Département Europe du FMI, en tant que chef de mission. Comme les années précédentes, la mission réunira les principales composantes de l’économie israélienne dans les secteurs public et privé, y compris le gouverneur et la Banque de fonctionnaires d’Israël, le ministre des Finances et de hauts fonctionnaires de son ministère, les hauts fonctionnaires d’autres ministères, d’autres banques, l’Association israélienne des Producteurs, la Histadrut (Fédération générale du Travail), et des universitaires.

À la fin de sa visite le 29 Novembre, la mission présentera son rapport préliminaire au gouverneur de la Banque d’Israël et au ministre israélien des Finances. Le rapport annuel détaillé sera ensuite compilé à Washington et présenté au Conseil d’administration du FMI, procédure applicable à tous les pays membres. Les rapports du FMI ont une large diffusion et engendrent grand intérêt sur les marchés monétaires à travers le monde, affectant la côte de crédit des économies examinées et les recommandations faites aux banques d’investissement concernant les investissements en Israël.

La Banque d’Israël publie de nouvelles prévisions optimistes pour l’économie israélienne

Le nouveau rapport trimestriel de la banque centrale est consacré aux tendances inflationnistes de l’économie israélienne. Il confirme les prévisions particulièrement optimistes pour la fin de cette année et pour l’an prochain: au cours du troisième trimestre de 2010, le rythme annuel de l’inflation est retombé à 2,4%, le PIB a augmenté de 4,5% en rythme annuel et l’économie israélienne se rapproche du plein emploi.

Une inflation maîtrisée

Les économistes de la Banque d’Israël ont calculé que le rythme annuel de l’inflation est actuellement de 2,4%. Ce taux correspond bien à l’objectif du gouvernement israélien de contenir l’inflation annuelle entre 2 et 3%.

Le rapport trimestriel de la banque centrale fait aussi remarquer que le poste du logement contribue pour un point au taux d’inflation annuel. Autrement dit, en excluant l’immobilier du calcul de l’indice des prix, l’inflation serait de l’ordre de 1,4% l’an seulement: on ne pouvait espérer mieux.

Une croissance accélérée

En rythme annuel, le produit intérieur brut (PIB) a augmenté de 4,5% au second trimestre 2010. Cette forte croissance est entraînée par les exportations qui augmenteront de 10% en 2010. Pour 2011, les exportations progresseront encore de 6%, et cela bien que la reprise risque d’être molle chez la plupart des partenaires commerciaux d’Israël.

Dans ce nouveau rapport trimestriel, les économistes de la banque centrale analysent aussi la conjoncture internationale et son impact sur l’économie israélienne. Ils remarquent notamment que « contrairement aux Etats-Unis et à la plupart des économies d’Europe, la croissance relativement rapide de l’économie israélienne est créatrice d’emplois et elle contribue à la réduction du taux de chômage ».

Le retour du plein emploi en 2011

Dans le courant de 2011, le chômage retombera à un taux moyen de 6% de la population active; les experts de la banque centrale qualifient ce taux de « plein emploi », c’est-à-dire un taux incompressible dans le cas de l’économie israélienne.

Rappelons que selon l’organisation internationale du travail (OIT), le plein emploi ne signifie pas que le taux de chômage doit être égal à zéro: il représente le niveau auquel la grande majorité des individus en âge de travailler, et qui le souhaitent, peuvent trouver un emploi productif et rémunéré.—

Jacques Bendelac (Jérusalem)

Source : Israelvalley

LE MAGAZINE “GLOBAL FINANCE” CLASSE LE GOUVERNEUR DE LA BANQUE D’ISRAËL, STANLEY FISCHER, PARMI LES 7 MEILLEURS GOUVERNEURS DU MONDE EN 2010

Stanley Fischer , gouverneur de la Banque d'Israël.

New York, 9 Septembre , 2010 – Le magazine Global Finance a désigné les gouverneurs des banques centrales de six pays – ainsi que le président de la Banque centrale européenne – comme étant les meilleurs banquiers centraux au cours de l’année écoulée.

Le rapport cartographique de la Banque Centrale (publié par le Global Finance depuis 1994) positionne les Gouverneurs de Banque Centrale de 30 pays-clés (et ECB) sur une échelle de “A » à « F » selon les critères de réussite en matière de gestion du contrôle de l’inflation, des objectifs de croissance économique, de la stabilité monétaire et des taux d’intérêt (« A » représentant l’excellence dans la performance et « F » l’échec avéré.)

Des critères subjectifs sont également applicables.  Selon l’Editeur du magazine « Global Finance », Joseph Giarraputo, « Au cours de l’une des pires années jamais enregistrées, les gouverneurs de banques centrales ont été testés comme jamais auparavant.  Chaque année, nous essayons d’évaluer la détermination des banquiers centraux pour résister à l’ingérence politique et leurs efforts à forcer leurs gouvernements à dépenser moins, et à ouvrir leur économie aux investissements étrangers et aux services financiers.

Ceux qui obtiennent la note «A» dans le rapport du numéro d’octobre du magazine Global Finance sont:

Country	Central Bank Governors	Grade 2010
European Union	Jean-Claude Trichet	A
Australia	Glenn Stevens	A
Israel	Stanley Fischer	A
Malaysia	Zeti Akhtar Aziz	A
South Korea	Lee Seongtae	A
Taiwan	Fai-Nan Perng	A
Turkey	Durmus Yilmaz	A

Le classement complet sur le site du magazine