Dans une tribune publiée jeudi dans le NYT, l’ancien Président Bill Clinton explique à quel point son ami Itzhak était un «visionnaire ». Dans un hommage ému par la perte d’un ami proche doublée de celle de l’éloignement des perspectives de paix au lendemain de cet assassinat, Clinton affirme qu’il est temps de progresser : « S’il était en mesure de nous parler aujourd’hui, il nous demanderait de ne pas pleurer sur ce qui aurait pu être mais de viser les opportunités et obstacles vers la paix pour poursuivre le travail de proximité ». Sur un ton plus personnel, Clinton reconnaît penser à Rabin tout le temps, jusqu’au moment où il a conduit sa fille Chelsea sous la Houppa . Il a émis le souhait qu’Itzhak ait été présent, au moins pour le féliciter d’avoir « au moins réussi quelque chose en mariant sa fille à une jeune homme juif » … Lire la suite (en anglais)
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